Depuis l’émergence du Coronavirus, le masque de protection est devenu un produit incontournable pour restreindre au maximum l’expansion de l’épidémie. Qu’il soit homologué « FFP2 », chirurgical ou simplement « homemade », les matériaux à utiliser pour le confectionner font débat et chacun y va de sa propre opinion.
Afin de remettre l’église au milieu du village, des chercheurs de l’université de Cambridge ont testé l’efficacité de plusieurs objets et matériaux du quotidien sur deux paramètres, le niveau de protection et la respirabilité, afin d’identifier celui qui représente la meilleure défense du quotidien contre les bactéries. Pour ce faire, ils ont pulvérisé la bactérie Astropheus (environ 1 micron) et le virus MS (0,02 microns) sur les matériaux à tester et analysé leur niveau de captation. A titre d’information, les particules du Coronavirus ont une taille à mi-chemin entre les deux particules testées, 0,1 micron.