Depuis l’émergence du Coronavirus, le masque de protection est devenu un produit incontournable pour restreindre au maximum l’expansion de l’épidémie. Qu’il soit homologué « FFP2 », chirurgical ou simplement « homemade », les matériaux à utiliser pour le confectionner  font débat et chacun y va de sa propre opinion. 

Afin de remettre l’église au milieu du village, des chercheurs de l’université de Cambridge ont testé l’efficacité de plusieurs objets et matériaux du quotidien sur deux paramètres, le niveau de protection et la respirabilité, afin d’identifier celui qui représente la meilleure défense du quotidien contre les bactéries. Pour ce faire, ils ont pulvérisé la bactérie Astropheus (environ 1 micron) et le virus MS (0,02 microns) sur les matériaux à tester et analysé leur niveau de captation. A titre d’information, les particules du Coronavirus ont une taille à mi-chemin entre les deux particules testées, 0,1 micron.

1. Protection

Si le masque chirurgical offre une protection efficace à 97% contre les particules de taille supérieure à 1 micron, le t-shirt 100% coton (une couche) ne protège « qu’à » 69% alors qu’un simple sac d’aspirateur offrira une protection presque équivalente au masque chirurgical, 95%. 

Et contre des plus petites particules ? 

En pulvérisant les particules de virus MS (0,02 micron, cinq fois plus petit que le Coronavirus), la protection du t-shirt 100% coton descend à 51%, contre 89% pour le masque chirurgical et 86% pour le  sac d’aspirateur.

Et si on doublait les couches ? 

Doubler le nombre de couches de protection face aux particules d’Astropheus a des effets variables suivant le matériaux testé. La protection du masque chirurgical n’augmente pas, celle du t-shirt 100% coton augmente que 2% tandis, celle des essuis de cuisine augmente de 14%. 

En regardant ces chiffres, le sac d’aspirateur et l’essui de cuisine apparaissent comme étants les meilleurs matériaux pour produire un masque non chirurgical. Pourtant, ce sont les taies d’oreiller et les t-shirts 100% coton qui furent désignés gagnants. Pourquoi ?

2. La respirabilité

Protection et confort sont les deux critères définissant la qualité d’un masque. Un masque offrant une bonne protection mais dont la densité bloque la respiration de son utilisateur n’aura aucun intérêt, que du contraire, nos hôpitaux sont déjà surchargés. Pour ce faire, les chercheurs ont testé la variation de la pression à la sortie des différents matériaux lors de la pulvérisation. Voici le résultat.

L’essui de cuisine et le sac d’aspirateur bloquent plus de deux fois plus le passage de l’air qu’un masque chirurgical. De leur côté, le t-shirt 100% coton et la taie d’oreiller, en 2 couches, ont une respirabilité équivalente à celle du masque chirurgical.

3. Le masque de protection QWALIS

Le tissu utilisé pour produire un t-shirt 100% coton est donc l’un des meilleurs compromis pour réaliser un masque de protection efficace et confortable. Néanmoins, cette étude ne précise pas la technicité du produit 100% coton utilisé lors des tests. Chez Qwalis, nous fabriquons nos masques avec le même tissus tricoté que celui utilisé pour la fabrication de nos t-shirts. De plus  nous garantissons l’utilisation de la meilleure qualité de fil, le fil « 30 », pour une maille bien dense, serrée, et un poids de minimum de  150 à 170 grammes par mètre carré. Ceci pour une protection maximum, certainement supérieure à celle des tests réalisés, tout en gardant un grand confort d’utilisation.  

Certification et homologation

Nos masques sont réalisés suivant les recommandations de la norme française AFNOR Spec S76-001 (masque barrière) et belge NBN/DTD S 65-001:2020 (masque community).

Le masque Qwalis lavable et réutilisable, 100% coton en double couche de Qwalis, représente donc LE bon choix de protection contre les particules et projections du quotidien.